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    Renten und Gerechtigkeit zwischen den Generationen: eine Geschichte der Verleugnung – The Great Conversation (Terra Nova) – 27.10.2024


    Renten und Gerechtigkeit zwischen den Generationen: eine Geschichte der Verleugnung – The Great Conversation (Terra Nova) – 27.10.2024

    https://www.lagrandeconversation.com/societe/les-retraites-et-lequite-entre-generations-histoire-dun-deni/

    Von boolazed

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    4 Comments

    1. TourEnvironmental604 on

      Le climat/écologie et la retraite, sont les deux thématiques qui me font perdre foi à la politique.

      Ou je devrais dire le vieillissement de la population, car c’est vraiment global. Je bosse en santé de manière un peu macro. Tout tourne autour des vieux. Alors c’est jusqu’à un certain point assez normal et rationnel. Mais tout ce qui a trait à la santé des jeunes et notamment à la santé mentale… c’est pire que l’hécatombe. Ce sont toujours des sujets annexes dont on s’occupera quand on aura le temps (tip : jamais).

      L’article parle un peu de l’immobilier (je ne savais pas que 60 % des biens immobiliers avaient des proprios de plus de 60 ans lol) mais je pense que cet enclin à privilégier les personnes âgées hypothéque tout le reste. L’éducation, la recherche, la justice etc etc. Il y a énormement de domaines de l’état qui demandent de l’investissement, mais qui ne concernent pas trop cet électorat âgé et qu’on va facilement geler pour “nos” retraites.

      Et ça fait depuis que je suis né qu’on sait tout ce qui est écrit dans l’article. Je vois pas exactement ce qui va changer dans l’avenir. Comme le climat, tout le monde le sait que c’est un peu injuste, qu’il y a des trucs à faire.

    2. boolazed on

      Les passages qui m’ont le plus interpellés

      >Les retraités actuels bénéficient d’un niveau de vie aujourd’hui supérieur de 30% par rapport à leurs parents à la retraite et de 20% par rapport à leurs enfants quand ils seront à la retraite (tout en partant à la retraite beaucoup plus tôt qu’eux).

      >Alors qu’il y avait 4 cotisants pour financer une retraite dans les années 1970, il n’en reste aujourd’hui plus que 1,7 – et demain encore moins. Résultat, actuellement un salarié sacrifie malgré lui presque un tiers de son salaire brut pour financer les retraites.

      >Désormais premier poste budgétaire, les retraites représentent un quart de notre dépense publique.

      >Il faut condamner le réflexe politique consistant à charger toujours davantage les épaules des actifs par peur de s’aliéner l’électorat devenu le plus nombreux et le plus mobilisé. Il ne peut être acceptable, comme le prévoit le PLF 2025, d’augmenter le coût du travail des actifs les moins qualifiés (de quatre milliards d’euros) pour éviter de toucher à la première dépense de la nation, et ce quitte à détruire des emplois.

    4. Neutronium57 on

      Et si j’ose dire que les retraités ont un niveau de vie supérieur aux actifs et qu’ils faudrait aussi les faire contribuer au rééquilibrage des comptes du pays(sic), on me retorque que *”oui mais tous les retraités ne roulent pas sur l’or, pense aussi aux pauvres petits vieux qui ont du mal à joindre les deux bouts”* comme si ça représentait la totalité de cette catégorie de la population.

      Je pense que, pour que quelque chose bouge, va falloir attendre que cette partie de la population se réduise de manière naturelle avec le temps.

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